-
Communiqué de Mgr Luc Ravel – 29 avril 2020
30 avril 2020Je m’associe intégralement sur le fond et dans les termes à la déclaration du conseil permanent de l’épiscopat de ce même jour qui formulait tout à la fois notre regret de responsable religieux et notre obéissance de citoyen français.
-
Septième message à nos chers alsaciens et alsaciennes
27 avril 2020Avant (avant la pandémie mais surtout avant le confinement absolu), nous étions tous de sinistres individualistes et de redoutables égoïstes. Grâce à la crise, nous sommes tous devenus d’agréables voisins et de merveilleux acteurs de la solidarité.
-
Sixième message à nos chers alsaciens et alsaciennes
16 avril 2020On le sent tous dans le respect précis du confinement : l’espace clos nous travaille. Nous n’y sommes pas ou peu habitués même si, pour certains, nous aimons son confort et sa protection.
-
Cinquième message à nos chers alsaciens et alsaciennes
10 avril 2020Personne n’est fait pour le confinement. Bien entendu, il y a les moines qui ont répondu à un appel et qui ont fait ce choix. Mais le sens de leur enfermement est clair : ils vont au désert pour chercher Dieu et se convertir tous les jours.
-
Quatrième message à nos chers alsaciens et alsaciennes
08 avril 2020Après deux semaines, les psy. ont remplacé les médecins sur les plateaux des TV. Dans les journaux, les conseils au confinement arrivent en rangs serrés : prennent la parole des commandants de sous-marins, des psychologues, des philosophes etc.
-
Troisième message à mes chers alsaciens
02 avril 2020Après deux semaines, les psy. ont remplacé les médecins sur les plateaux des TV. Dans les journaux, les conseils au confinement arrivent en rangs serrés : prennent la parole des commandants de sous-marins, des psychologues, des philosophes etc.
-
Deuxième message à mes chers alsaciens
26 mars 2020« J’ai dit souvent que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose qui est de ne pas savoir demeurer au repos dans une chambre. » (Blaise Pascal, Pensées)
-
Premier message à mes chers Alsaciens pour le temps de l’épidémie
18 mars 2020A la différence de douleurs qui n’atteignent qu’un seul membre mais que nous partageons par la solidarité unissant les membres d’un même corps, aujourd’hui nous sommes tous atteints.